Le pélérinage marial de Poponguine qui est une démarche de foi pour les fidèles catholiques du Sénégal et même de la sous (...)
Le pélérinage marial de Poponguine qui est une démarche de foi pour les fidèles catholiques du Sénégal et même de la sous -région est aussi une occasion pour une certaine horde de personnes de faire étalage de la légèreté de moeurs. En effet, un petit tour à la plage de ce village multicentenaire pourrait amener à penser, qu’on est dans une plage américaine ou Mexicaine tant le décor rappelle à plusieurs égards, ses images qui ont fini de faire le tour des télévisions du monde entier. Ils sont nombreux ces jeunes -filles et garçons- qui viennent à Poponguine sous pretexte d’accomplir leur devoir religieux et qui, hélas, ne mettront jamais les pieds à la grotte ou même au sanctuaire. Ceci est beaucoup plus perceptible le lundi, au moment de la messe du pélérinage proprement dite qui est le moment le plus important du pélérinage, la moitié des pélerins, pardon, des "vacanciers" est à la place ou dans des tentes emmenées pour la circonstance pour faire...( ?). Si le mal en est venu à ce point culminant , c’est parce que les organisateurs et autres autorités religieuses et étatiques ont fuit devant leur responsabilité. En vérité, même s’il ya eu un arrêté préfectoral interdisant la baignade dans la plage de Poponguine, il n’en demeure pas moins vrai que cette décision souffre d’un manque d’application et de suivi notoire. Seuls des sapeurs pompiers veillent au grain. Comme pour dire aux baigneurs nous sommes là pour vous tirer d’affaire en cas d’ennuis. Les autorités religieuses de leur côté semblent laisser de marbre
r cette question ô combien importante pour l’image du catholique sénégalais. Elles préfèrent se contenter de l’aspect spirituel en oubliant que leur responsabilité en tant que personnes morales est interpellé au premier chef. Si on en est arriver là c’est parce qu’aussi un effort de sensibilisation pour parer à ces dérives n’a pratiquement pas existé. Dans les différentes paroisses, on ne parle du pélérinage de Poponguine qu’un mois avant la date et c’est pour parler des cotisations pour les marcheurs, et autres points qui frisent la futulité comparés aux dérives notés sur place. Tout le monde doit prendre conscience du degré culminant de la gravité de la situation afin que soit banni de l’espace catholique ces pratiques qui appartiennent à un autre monde.
Le pélérinage marial de Poponguine qui est une démarche de foi pour les fidèles catholiques du Sénégal et même de la sous -région est aussi une occasion pour une certaine horde de personnes de faire étalage de la légèreté de moeurs. En effet, un petit tour à la plage de ce village multicentenaire pourrait amener à penser, qu’on est dans une plage américaine ou Mexicaine tant le décor rappelle à plusieurs égards, ses images qui ont fini de faire le tour des télévisions du monde entier. Ils sont nombreux ces jeunes -filles et garçons- qui viennent à Poponguine sous pretexte d’accomplir leur devoir religieux et qui, hélas, ne mettront jamais les pieds à la grotte ou même au sanctuaire. Ceci est beaucoup plus perceptible le lundi, au moment de la messe du pélérinage proprement dite qui est le moment le plus important du pélérinage, la moitié des pélerins, pardon, des "vacanciers" est à la place ou dans des tentes emmenées pour la circonstance pour faire...( ?). Si le mal en est venu à ce point culminant , c’est parce que les organisateurs et autres autorités religieuses et étatiques ont fuit devant leur responsabilité. En vérité, même s’il ya eu un arrêté préfectoral interdisant la baignade dans la plage de Poponguine, il n’en demeure pas moins vrai que cette décision souffre d’un manque d’application et de suivi notoire. Seuls des sapeurs pompiers veillent au grain. Comme pour dire aux baigneurs nous sommes là pour vous tirer d’affaire en cas d’ennuis. Les autorités religieuses de leur côté semblent laisser de marbre
r cette question ô combien importante pour l’image du catholique sénégalais. Elles préfèrent se contenter de l’aspect spirituel en oubliant que leur responsabilité en tant que personnes morales est interpellé au premier chef. Si on en est arriver là c’est parce qu’aussi un effort de sensibilisation pour parer à ces dérives n’a pratiquement pas existé. Dans les différentes paroisses, on ne parle du pélérinage de Poponguine qu’un mois avant la date et c’est pour parler des cotisations pour les marcheurs, et autres points qui frisent la futulité comparés aux dérives notés sur place. Tout le monde doit prendre conscience du degré culminant de la gravité de la situation afin que soit banni de l’espace catholique ces pratiques qui appartiennent à un autre monde.
Source © : PEF [Redaction Xalima.com]
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