Une trentaine de femmes potières de la communauté rurale de Nguéniène ont clôturé, au cours du week-end, un atelier de céramique mais aussi de découverte et d’échanges sous l’initiative de la fondation « Portes et passages du retour » qui regroupe des artistes et acteurs de développement. La journée qui a allié des dépositaires d’un art traditionnel et des artistes de renommée comme Amadou Kane Sy met la poterie à la croisée des chemins.
Selon Mamadou Sarr, un des membres de cette fondation, la rencontre d’une semaine entre les femmes potières de différents villages de la communauté rurale de Nguéniène entre dans le cadre de la systématisation de leur savoir-faire. Pour lui, au cours de l’atelier, elles n’ont pas appris la poterie. La démarche recherchée a été de leur permettre de perfectionner leur art et de tisser des liens interprofessionnels.
A l’en croire, ces dames vivent parfaitement de leur art sur la base des potentialités décelées en elles. Il s’agit pour ces femmes, à partir de cette rencontre, de ne pas se défaire de leurs préoccupations professionnelles traditionnelles tout en s’ouvrant à une activité de recherche sur le plan plastique. Mamadou Sarr rapproche encore l’activité des femmes des actions de lutte contre la pauvreté et le développement durable. La recherche est lancée pour la substitution de méthodes et moyens de cuisson des produits en argile confectionnés par ces dames. Ainsi, l’initiative vise à remplacer l’utilisation du bois par d’autres modèles de cuisson.
En ce qui concerne l’aspect-découverte de cet atelier, des artistes de renommée sont venus se joindre à elles pour leur permettre s’imprégner des réalisations de talents sénégalais. Mamadou Sarr soutient encore que cette synergie contribuera sur la route qui mène à faire de l’art un moteur de développement. Il a évoqué la collaboration du département Art et Design de l’Université américaine du Michigan qui s’intéresse à des constructions et réalisations à base de matériau local associant leur design et le savoir-faire des femmes potières.
L’expérience de mars 2008 a permis à 21 étudiants américains de s’imprégner de la démarche décrite plus haut. Elle va être rééditée en avril 2009 pour leur permettre de vivre et d’appréhender les techniques de base d’acteurs de développement endogène. L’homme pense que la rencontre va encore contribuer à l’éclosion de talent, des acteurs potentiels de production d’une industrie culturelle de qualité.
Les potières interrogées se réfugient derrière leur art pour vivre. Elles pensent que la tradition est perpétuée à travers les activités menées. Selon elles, la poterie est une question de tradition familiale même si des femmes cherchent à en faire un métier.
Selon Mamadou Sarr, un des membres de cette fondation, la rencontre d’une semaine entre les femmes potières de différents villages de la communauté rurale de Nguéniène entre dans le cadre de la systématisation de leur savoir-faire. Pour lui, au cours de l’atelier, elles n’ont pas appris la poterie. La démarche recherchée a été de leur permettre de perfectionner leur art et de tisser des liens interprofessionnels.
A l’en croire, ces dames vivent parfaitement de leur art sur la base des potentialités décelées en elles. Il s’agit pour ces femmes, à partir de cette rencontre, de ne pas se défaire de leurs préoccupations professionnelles traditionnelles tout en s’ouvrant à une activité de recherche sur le plan plastique. Mamadou Sarr rapproche encore l’activité des femmes des actions de lutte contre la pauvreté et le développement durable. La recherche est lancée pour la substitution de méthodes et moyens de cuisson des produits en argile confectionnés par ces dames. Ainsi, l’initiative vise à remplacer l’utilisation du bois par d’autres modèles de cuisson.
En ce qui concerne l’aspect-découverte de cet atelier, des artistes de renommée sont venus se joindre à elles pour leur permettre s’imprégner des réalisations de talents sénégalais. Mamadou Sarr soutient encore que cette synergie contribuera sur la route qui mène à faire de l’art un moteur de développement. Il a évoqué la collaboration du département Art et Design de l’Université américaine du Michigan qui s’intéresse à des constructions et réalisations à base de matériau local associant leur design et le savoir-faire des femmes potières.
L’expérience de mars 2008 a permis à 21 étudiants américains de s’imprégner de la démarche décrite plus haut. Elle va être rééditée en avril 2009 pour leur permettre de vivre et d’appréhender les techniques de base d’acteurs de développement endogène. L’homme pense que la rencontre va encore contribuer à l’éclosion de talent, des acteurs potentiels de production d’une industrie culturelle de qualité.
Les potières interrogées se réfugient derrière leur art pour vivre. Elles pensent que la tradition est perpétuée à travers les activités menées. Selon elles, la poterie est une question de tradition familiale même si des femmes cherchent à en faire un métier.
Par Samba Niébé BA SUD QUOTIDIEN , mercredi 31 décembre 2008
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