Les élections locales qui pointent à l’horizon ont de nouveau plongé les collectivités locales au centre des convoitises des états-majors politiques. L’état des lieux ou la carte d’occupation des collectivités locales par les états-majors politiques à quelques semaines du dépôt des listes de candidature à des postes de conseillers donne les libéraux en tête de peloton .Pourtant au lendemain des dernières consultations locales ,il n’en contrôlaient que trois sur douze. De nos jours, seuls les conseils ruraux de Nguéniène et de Ndiass sont encore entre les mains de non libéraux.
Les libéraux de la petite cote ont appris en début de semaine, la reconduction du député Omar Sy au poste de superviseur des élections locales .La mesure n’a pas encore suscité des réactions. Des questions se posent .La déconfiture de l’équipe municipale dirigée par Mbaye Diagne, l’ex maire libéral de Mbour démis par décret avec le conseil municipal, avait été suivie d’un départ massif de responsables libéraux partis à la conquête de nouvelles bases politiques pour être dans la course à la tête de la commune. Le mécontentement d’antan trouvait réponse dans la désignation du staff devant accompagner le superviseur dans ses taches. Il y a plus de prétendants que de places prévues, moins d’une dizaine.
L’une des équations à résoudre : le député libéral Khadim Tabet adhère dans la manœuvre et souscrit entièrement à la décision de la direction libérale .Il a mis en avant la prise en compte de son travail dans la désignation des responsables locaux au niveau des 122 secteurs montés en vue de la confection des listes des conseillers municipaux. Le jeu des alliances risque aussi de ne pas faciliter les choses si l’ensemble des dissidents ne se met pas dans les rangs.
La commune de Joal-Fadiouth, dirigée par le maire Paul Ndong, un ex-socialiste qui a déposé son baluchon dans le camp libéral, va connaître une ambiance particulière. Une seule question se pose : les ambitions des uns et des autres pour la conquête de la mairie risquent de constituer un véritable guêpier ou un panier à crabes.
La commune de Nguékokh est dans la dynamique d’une fusion difficile des bleus .Là au aussi, le maire Abdou Ndiaye qui a adhéré au parti démocratique sénégalais va vivre des consultations électorales avec ses nouveaux frères. Des libéraux authentiques qui lui ont toujours mis les bâtons dans les roues vont-ils revoir leur position pour le mettre au devant de la scène et accepter d’aller à la conquête de la commune pour sa réélection.
La commune de Thiadiaye dirigée par un maire bleu fraîchement venu chez les bleus doit faire face à l’hostilité de ses nouveaux frères qui l’avaient longtemps combattu. Là, les libéraux doivent régler des velléités fractionnistes d’individus qui se font une fixation pour le poste de maire de la contrée historique du Jegem.
Les paris restent ouverts au niveau des nouvelles collectivités locales de La Somone, Ngaparou et Saly-Portudal.
Au niveau des communautés rurales, la carte politique présente une toute autre configuration .Si déboulonner les verts à Nguéniène relève d’une équation à mille inconnus, le même constat est valable dans la communauté rurale de Séssène dirigée par le Docteur Paul Sène, un libéral à la tête du conseil rural. Il faut signaler que les conseils ruraux de Malicounda et Sindia amputés de deux localités vont faire l’objet de convoitise. Ndiaganiao constant depuis plusieurs consultations électorales dans la tendance va devoir faire face à l’épreuve des dures conditions de vie du monde rural. On se demande si Fissel va tomber dans l’escarcelle bleue à l’image du président de conseil rural qui depuis est avec les libéraux.
Le département de Mbour, jadis un bastion socialiste aujourd’hui très éprouvé par l’évolution politique dans la zone, est dans une phase de reconquête par les verts. Le premier secrétaire du parti socialiste très inspiré ces derniers temps reste confiant .Il a jugé la semaine l’engagement des zones littorales au niveau des collectivités littorales du département de Mbour qui veulent s’inscrire dans une dynamique de changements ou de rupture avec la gestion actuelle des choses. La conquête des collectivités locales cache des surprises avec les alliances et coalitions dans la confection des listes et les batailles politiques sur le terrain.
Les libéraux de la petite cote ont appris en début de semaine, la reconduction du député Omar Sy au poste de superviseur des élections locales .La mesure n’a pas encore suscité des réactions. Des questions se posent .La déconfiture de l’équipe municipale dirigée par Mbaye Diagne, l’ex maire libéral de Mbour démis par décret avec le conseil municipal, avait été suivie d’un départ massif de responsables libéraux partis à la conquête de nouvelles bases politiques pour être dans la course à la tête de la commune. Le mécontentement d’antan trouvait réponse dans la désignation du staff devant accompagner le superviseur dans ses taches. Il y a plus de prétendants que de places prévues, moins d’une dizaine.
L’une des équations à résoudre : le député libéral Khadim Tabet adhère dans la manœuvre et souscrit entièrement à la décision de la direction libérale .Il a mis en avant la prise en compte de son travail dans la désignation des responsables locaux au niveau des 122 secteurs montés en vue de la confection des listes des conseillers municipaux. Le jeu des alliances risque aussi de ne pas faciliter les choses si l’ensemble des dissidents ne se met pas dans les rangs.
La commune de Joal-Fadiouth, dirigée par le maire Paul Ndong, un ex-socialiste qui a déposé son baluchon dans le camp libéral, va connaître une ambiance particulière. Une seule question se pose : les ambitions des uns et des autres pour la conquête de la mairie risquent de constituer un véritable guêpier ou un panier à crabes.
La commune de Nguékokh est dans la dynamique d’une fusion difficile des bleus .Là au aussi, le maire Abdou Ndiaye qui a adhéré au parti démocratique sénégalais va vivre des consultations électorales avec ses nouveaux frères. Des libéraux authentiques qui lui ont toujours mis les bâtons dans les roues vont-ils revoir leur position pour le mettre au devant de la scène et accepter d’aller à la conquête de la commune pour sa réélection.
La commune de Thiadiaye dirigée par un maire bleu fraîchement venu chez les bleus doit faire face à l’hostilité de ses nouveaux frères qui l’avaient longtemps combattu. Là, les libéraux doivent régler des velléités fractionnistes d’individus qui se font une fixation pour le poste de maire de la contrée historique du Jegem.
Les paris restent ouverts au niveau des nouvelles collectivités locales de La Somone, Ngaparou et Saly-Portudal.
Au niveau des communautés rurales, la carte politique présente une toute autre configuration .Si déboulonner les verts à Nguéniène relève d’une équation à mille inconnus, le même constat est valable dans la communauté rurale de Séssène dirigée par le Docteur Paul Sène, un libéral à la tête du conseil rural. Il faut signaler que les conseils ruraux de Malicounda et Sindia amputés de deux localités vont faire l’objet de convoitise. Ndiaganiao constant depuis plusieurs consultations électorales dans la tendance va devoir faire face à l’épreuve des dures conditions de vie du monde rural. On se demande si Fissel va tomber dans l’escarcelle bleue à l’image du président de conseil rural qui depuis est avec les libéraux.
Le département de Mbour, jadis un bastion socialiste aujourd’hui très éprouvé par l’évolution politique dans la zone, est dans une phase de reconquête par les verts. Le premier secrétaire du parti socialiste très inspiré ces derniers temps reste confiant .Il a jugé la semaine l’engagement des zones littorales au niveau des collectivités littorales du département de Mbour qui veulent s’inscrire dans une dynamique de changements ou de rupture avec la gestion actuelle des choses. La conquête des collectivités locales cache des surprises avec les alliances et coalitions dans la confection des listes et les batailles politiques sur le terrain.
Par Samba Niébé BA SUD QUOTIDIEN , samedi 27 décembre 2008
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