Le chanteur et compositeur mauritanien Nasrdine ould Salem dit Nasser a procédé au lancement sur le marché d’un album le 12 février 2009 à Saly-Portudal dans la station balnéaire. Intitulé « Ailleurs » et sorti en janvier 2009, il constitue un mélange de musique franco-mauritanienne. La production faite en relation avec le « S.M .Studio » de Saly est riche de neuf compositions traitant divers thèmes.
Nasser exclut le griotisme dans sa mission musicale. Il soutient que la musique fait partie de la culture mauritanienne à cheval sur le Maghreb et l’Afrique noire. Ses compositions sont influencées par les sonorités musicales de ladite zone. Elles mettent en relief des histoires et légendes. Ses thèmes évoquent la religion, la bravoure des guerriers et des poèmes ancestraux. Il ne chante que le prophète Mahomet, mais aussi l’amour. Il fait part de son souhait de vivre dans une Mauritanie sans racisme et sans inégalités sociales. Il milite pour le métissage et déteste l’esclavage. Il est un fervent adepte des grands ensembles et ne cautionnent pas les barrières frontalières .Il considère la Mauritanie et le Sénégal dans un même ensemble.
Revenant sur ses options, il se met au service de l’Universel et compte faire une musique qui va au bout du monde par sa qualité et les messages qu’elle véhicule.
De teint clair et blotti dans un costume européen, blanc, âgé de 23 ans, il révèle avoir vu le jour à Nouakchott dans la capitale mauritanienne. Pour lui, son vécu musical ne fait pas l’ombre d’un doute. Ses premiers pas dans la musique remontent à l’âge de 12 ans, et il monte sur les estrades à 14 ans. Il fait le tour de la Mauritanie à travers ses différentes régions malgré le refus de son père qui aurait voulu le voir réussir à l’école. A son carnet d’adresse, on note en 1999, un passage au groupe mauritanien « Walfadjri » qui a fait une tournée dans beaucoup de villes mauritaniennes. Deux concerts sont à son actif au festival nomade et d’autres au centre culturel français en 2004. A 19 ans, il descend au Sénégal pour tout refaire ou reprendre.
Nasser voit le Sénégal comme un monde d’échanges, un carrefour de brassage culturel et d’intégration de différentes ethnies .Il explique son option de s’y implanter par la qualité de l’industrie musicale mieux outillée qu’en Mauritanie. Il se retrouve très bien à Saly-Portudal après diverses prestations dans les hôtels.
Sa production suite à un enregistrement et un arrangement porte la griffe de « S.M .Studio » du chanteur guitariste Sayo Mbodji basé à Saly et versé dans la promotion des jeunes talents.
Nasser exclut le griotisme dans sa mission musicale. Il soutient que la musique fait partie de la culture mauritanienne à cheval sur le Maghreb et l’Afrique noire. Ses compositions sont influencées par les sonorités musicales de ladite zone. Elles mettent en relief des histoires et légendes. Ses thèmes évoquent la religion, la bravoure des guerriers et des poèmes ancestraux. Il ne chante que le prophète Mahomet, mais aussi l’amour. Il fait part de son souhait de vivre dans une Mauritanie sans racisme et sans inégalités sociales. Il milite pour le métissage et déteste l’esclavage. Il est un fervent adepte des grands ensembles et ne cautionnent pas les barrières frontalières .Il considère la Mauritanie et le Sénégal dans un même ensemble.
Revenant sur ses options, il se met au service de l’Universel et compte faire une musique qui va au bout du monde par sa qualité et les messages qu’elle véhicule.
De teint clair et blotti dans un costume européen, blanc, âgé de 23 ans, il révèle avoir vu le jour à Nouakchott dans la capitale mauritanienne. Pour lui, son vécu musical ne fait pas l’ombre d’un doute. Ses premiers pas dans la musique remontent à l’âge de 12 ans, et il monte sur les estrades à 14 ans. Il fait le tour de la Mauritanie à travers ses différentes régions malgré le refus de son père qui aurait voulu le voir réussir à l’école. A son carnet d’adresse, on note en 1999, un passage au groupe mauritanien « Walfadjri » qui a fait une tournée dans beaucoup de villes mauritaniennes. Deux concerts sont à son actif au festival nomade et d’autres au centre culturel français en 2004. A 19 ans, il descend au Sénégal pour tout refaire ou reprendre.
Nasser voit le Sénégal comme un monde d’échanges, un carrefour de brassage culturel et d’intégration de différentes ethnies .Il explique son option de s’y implanter par la qualité de l’industrie musicale mieux outillée qu’en Mauritanie. Il se retrouve très bien à Saly-Portudal après diverses prestations dans les hôtels.
Sa production suite à un enregistrement et un arrangement porte la griffe de « S.M .Studio » du chanteur guitariste Sayo Mbodji basé à Saly et versé dans la promotion des jeunes talents.
Par Samba Niébé BA SUD QUOTIDIEN , samedi 14 février 2009
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire