La ville de Mbour connaît des scènes quotidiennes de blocage de la circulation. L’avenue Demba Diop, l’artère principale, porte d’entrée et de sortie de la capitale de la petite côte donne tout le long de la journée, la même image que sur Diogoye Basile Senghor, Sana Daffé ou Cheikh Ahmadou Bamba .Sur tous ces axes, les embouteillages sont devenus des faits banaux, car récurrents. De la tête de ponts de taxis clandos, des cars « Ndiaga Ndiaye »ont fini de transformer le centre ville en un lieu où la mobilité devient un casse tête.
19 heures au niveau de la bretelle qui voit la nationale 1 piquer vers Kaolack et une rue vers le centre de Mbour, une queue de véhicules interminable campe le décor et illustre de manière nette, les embouteillages quotidiens. Le diagnostic est fait depuis huit ans par un spécialiste des transports. La sonnette d’alarme tirée a laissé les précédentes équipes municipales sans réactions.
Il faut signaler les énormes déployées par la délégation spéciale qui gère la commune .Des opérations de désensablement ont été menées de même que l’élagage des caïlcédrats pour faciliter la circulation .Pour une première ,le goudron et l’asphalte de certaines rues sont de nouveau visibles depuis plus d’une vingtaine d’années.
Le centre ville, point de convergence de tout Mbour ,se singularise en abritant plus de 90 % des affaires économiques et administratives .Il compte en son sein ,la mairie , les grands magasins ,alimentations ,commerces ,banques ou centres des affaires ,et le marché central ainsi que la quasi-totalité des services administratifs .
Les difficultés de circulation et de mobilité ont attiré l’attention d’un spécialiste des transports routiers à la retraite .Pour ne pas le citer, Fodé Seyni Sagna a fait une étude exhaustive qui a circonscrit les source du mal. L’étroitesse des artères et routes, leur état de délabrement avancé, l’ensablement permanent de bon nombre d’entre elles sont en partie ciblés. A cela s’ajoutent les moyens de locomotion qui font corps avec l’environnement urbain et péri urbain. La prolifération des véhicules hippomobiles surtout les charrettes assure la desserte en direction des quartiers périphériques.
Elles partagent toutes, le manque de sécurité, pas de lampe de signalisation et dés la tombée de la nuit, elles deviennent des facteurs d’insécurité et causent beaucoup de préjudices aux usagers de la circulation. Une estimation faite par la défunte équipe municipale donne 800 charrettes et calèches. Il faut signaler la diminution drastique du nombre de calèches .Elles raréfient même. Le nœud gordien de l’organisation du transport et de la circulation reste l’équation des taxis clandos.
Il est dénombré selon l’étude que 900 taxis urbains et 68 autocars. L’expansion continue et progressive des lieux de stationnement autorisés ou non laisse voir l’insuffisance de la capacité de la voirie à contenir l’accroissement des parcs de voitures particulières, de charrettes, en plus d’une occupation constante et irrégulière de la chaussée dans le centre ville et aux abords des gares routières et marchés. Les faits cités ou énumérés sont soupçonnés de représenter le racines du mal .Les énormes problèmes de déplacement d’un lieu à un autre sont aussi liés à l’absence de fluidité due souvent aux gros porteurs mal intentionnés ou tombés en panne.
L’avenue Houphouët Boigny,sollicitée à toute heure par des camions frigorifiques illustre les faits. Le même scénario est fréquent au niveau de L’avenue Diogoye Basile Senghor. Les autorités municipales s’investissent pour assurer une réglementation de la circulation .Les bousculades,les queues de calèches,et de charrettes s’ajoutent aux stationnements défectueux en fin d’après midi pour constituer des blocages que seuls les agents de la force publique parviennent à dénouer.
L’agglomération mbouroise a une population estimée à plus de 500 000 habitants répartie dans un espace de 27 kilomètres carré. Elle compte de fortes concentrations humaines. Aux heures de pointe des usagers de la route ont d’énormes difficultés pour accéder aux moyens de transports ou pour circuler d’un lieu à un autre de la ville. Les 27 quartiers de la ville en grande partie des lieux de résidences, en quelque sorte des cités dortoirs souffrent du manque de voies de desserte .Les sorties vers Saly ,la station touristique et balnéaire et le centre de santé de Grand Mbour relèvent de parcours du combat aux heures de pointe ,au lever comme au coucher du jour.
19 heures au niveau de la bretelle qui voit la nationale 1 piquer vers Kaolack et une rue vers le centre de Mbour, une queue de véhicules interminable campe le décor et illustre de manière nette, les embouteillages quotidiens. Le diagnostic est fait depuis huit ans par un spécialiste des transports. La sonnette d’alarme tirée a laissé les précédentes équipes municipales sans réactions.
Il faut signaler les énormes déployées par la délégation spéciale qui gère la commune .Des opérations de désensablement ont été menées de même que l’élagage des caïlcédrats pour faciliter la circulation .Pour une première ,le goudron et l’asphalte de certaines rues sont de nouveau visibles depuis plus d’une vingtaine d’années.
Le centre ville, point de convergence de tout Mbour ,se singularise en abritant plus de 90 % des affaires économiques et administratives .Il compte en son sein ,la mairie , les grands magasins ,alimentations ,commerces ,banques ou centres des affaires ,et le marché central ainsi que la quasi-totalité des services administratifs .
Les difficultés de circulation et de mobilité ont attiré l’attention d’un spécialiste des transports routiers à la retraite .Pour ne pas le citer, Fodé Seyni Sagna a fait une étude exhaustive qui a circonscrit les source du mal. L’étroitesse des artères et routes, leur état de délabrement avancé, l’ensablement permanent de bon nombre d’entre elles sont en partie ciblés. A cela s’ajoutent les moyens de locomotion qui font corps avec l’environnement urbain et péri urbain. La prolifération des véhicules hippomobiles surtout les charrettes assure la desserte en direction des quartiers périphériques.
Elles partagent toutes, le manque de sécurité, pas de lampe de signalisation et dés la tombée de la nuit, elles deviennent des facteurs d’insécurité et causent beaucoup de préjudices aux usagers de la circulation. Une estimation faite par la défunte équipe municipale donne 800 charrettes et calèches. Il faut signaler la diminution drastique du nombre de calèches .Elles raréfient même. Le nœud gordien de l’organisation du transport et de la circulation reste l’équation des taxis clandos.
Il est dénombré selon l’étude que 900 taxis urbains et 68 autocars. L’expansion continue et progressive des lieux de stationnement autorisés ou non laisse voir l’insuffisance de la capacité de la voirie à contenir l’accroissement des parcs de voitures particulières, de charrettes, en plus d’une occupation constante et irrégulière de la chaussée dans le centre ville et aux abords des gares routières et marchés. Les faits cités ou énumérés sont soupçonnés de représenter le racines du mal .Les énormes problèmes de déplacement d’un lieu à un autre sont aussi liés à l’absence de fluidité due souvent aux gros porteurs mal intentionnés ou tombés en panne.
L’avenue Houphouët Boigny,sollicitée à toute heure par des camions frigorifiques illustre les faits. Le même scénario est fréquent au niveau de L’avenue Diogoye Basile Senghor. Les autorités municipales s’investissent pour assurer une réglementation de la circulation .Les bousculades,les queues de calèches,et de charrettes s’ajoutent aux stationnements défectueux en fin d’après midi pour constituer des blocages que seuls les agents de la force publique parviennent à dénouer.
L’agglomération mbouroise a une population estimée à plus de 500 000 habitants répartie dans un espace de 27 kilomètres carré. Elle compte de fortes concentrations humaines. Aux heures de pointe des usagers de la route ont d’énormes difficultés pour accéder aux moyens de transports ou pour circuler d’un lieu à un autre de la ville. Les 27 quartiers de la ville en grande partie des lieux de résidences, en quelque sorte des cités dortoirs souffrent du manque de voies de desserte .Les sorties vers Saly ,la station touristique et balnéaire et le centre de santé de Grand Mbour relèvent de parcours du combat aux heures de pointe ,au lever comme au coucher du jour.
Par Samba Niébé BA SUD QUOTIDIEN , lundi 24 novembre 2008
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