Vingt cocotiers arrachés et engloutis par les flots, des cases broyées, des fondations entaillées, un littoral jonché de racines d’arbres et une vingtaine de mètres de plages totalement submergées. C’est le triste spectacle offert aux Résidences Téranga, au cours de la matinée d’hier jeudi 7 mai 2009 à Saly Portudal qui dans sa furie n’a rien épargné sur son passage. En attestent les photos montrent l’ampleur du phénomène. L’avancée de la mer s’est signalée depuis quarante-huit heures à Saly-Portudal. Du coup, le village traditionnel de Saly-Coulang est menacé de disparition.
Pathé Dia, directeur de Téranga, émet des craintes quant à l’avenir de la saison touristique dans la station balnéaire de Saly-Portudal. Pis, il s’attend à des répercussions socio-économiques avec la baisse des activités. Pour lui, les conséquences de ce phénomène d’avancée de la mer sont incalculables.
La modification du décor et les changements liés à l’érosion côtière ont poussé, en moins de deux jours, la clientèle à un changement d’attitude et de comportements. Avec l’absence de la plage envahie par la mer, ils réclament des remboursements. Pour eux, la plage est un élément intégral du produit touristique (package vendu avec soleil et plage).
A l’en croire, le tour opérator Thomas Cook brandie la rupture. La perte du Tour Oprator équivaut à une baisse d’activités à Téranga avec comme incidences financières des pertes de recettes et d’emplois. Suffisant pour qu’il appelle à trouver des solutions avant qu’on en soit là. Selon Pathé Dia, si la situation perdure, des mesures de compression du personnel vont s’opérer. Ce qui va entraîner des pertes d’emploi. Car la gérance va se trouver dans l’obligation de diminuer ses charges et dépenses.
Interrogé sur le phénomène, le directeur de Téranga Saly rappelle que c’est un investissement de cinq milliards de francs qui est en jeu et ne peut être abandonné. Il compte faire un sacrifice en investissant 235 millions de francs pour se protéger de la furie des flots en mettant en place des installations.
D’autres réceptifs touristiques ont déjà enfourché le même cheval. Mais en se protégeant, elles ont transféré le problème sur d’autres installations littorales. C’est pourquoi ils sont accusés d’être les principaux responsables, avec la mise en place de chenaux, ponton, canaux et écluses hors normes. Ce qui représente une menace grave pour le village de Saly Coulang. Car si Téranga parvient à être protégé, tel ne sera pas le cas pour le village traditionnel des pêcheurs de Saly.
Le phénomène d’avancée est en train désastre dans la petite côte. Les causes sont d’abord naturelles de l’avis d’observateurs. Ensuite, chaque réceptif a conçu des aménagements pour se protéger sans associer les autres. Cela cause beaucoup de désagréments.
A en croire Pathé Dia, le premier responsable de l’aménagement dans la station balnéaire de Saly-Portudal reste la Sapco. Mais elle traîne les pieds pour la recherche de solution globale à l’érosion côtière. Les nombreuses réunions convoquées n’ont pas permis de trouver une solution idoine à la protection du littoral contre l’avancée de la mer.
De bonnes intentions existent avec des démarches faites auprès d’institutions de coopération qui veulent commanditer des études pour trouver des solutions au moment où des installations hôtelières en bordure de mer sont submergées par les vagues.
Pathé Dia, directeur de Téranga, émet des craintes quant à l’avenir de la saison touristique dans la station balnéaire de Saly-Portudal. Pis, il s’attend à des répercussions socio-économiques avec la baisse des activités. Pour lui, les conséquences de ce phénomène d’avancée de la mer sont incalculables.
La modification du décor et les changements liés à l’érosion côtière ont poussé, en moins de deux jours, la clientèle à un changement d’attitude et de comportements. Avec l’absence de la plage envahie par la mer, ils réclament des remboursements. Pour eux, la plage est un élément intégral du produit touristique (package vendu avec soleil et plage).
A l’en croire, le tour opérator Thomas Cook brandie la rupture. La perte du Tour Oprator équivaut à une baisse d’activités à Téranga avec comme incidences financières des pertes de recettes et d’emplois. Suffisant pour qu’il appelle à trouver des solutions avant qu’on en soit là. Selon Pathé Dia, si la situation perdure, des mesures de compression du personnel vont s’opérer. Ce qui va entraîner des pertes d’emploi. Car la gérance va se trouver dans l’obligation de diminuer ses charges et dépenses.
Interrogé sur le phénomène, le directeur de Téranga Saly rappelle que c’est un investissement de cinq milliards de francs qui est en jeu et ne peut être abandonné. Il compte faire un sacrifice en investissant 235 millions de francs pour se protéger de la furie des flots en mettant en place des installations.
D’autres réceptifs touristiques ont déjà enfourché le même cheval. Mais en se protégeant, elles ont transféré le problème sur d’autres installations littorales. C’est pourquoi ils sont accusés d’être les principaux responsables, avec la mise en place de chenaux, ponton, canaux et écluses hors normes. Ce qui représente une menace grave pour le village de Saly Coulang. Car si Téranga parvient à être protégé, tel ne sera pas le cas pour le village traditionnel des pêcheurs de Saly.
Le phénomène d’avancée est en train désastre dans la petite côte. Les causes sont d’abord naturelles de l’avis d’observateurs. Ensuite, chaque réceptif a conçu des aménagements pour se protéger sans associer les autres. Cela cause beaucoup de désagréments.
A en croire Pathé Dia, le premier responsable de l’aménagement dans la station balnéaire de Saly-Portudal reste la Sapco. Mais elle traîne les pieds pour la recherche de solution globale à l’érosion côtière. Les nombreuses réunions convoquées n’ont pas permis de trouver une solution idoine à la protection du littoral contre l’avancée de la mer.
De bonnes intentions existent avec des démarches faites auprès d’institutions de coopération qui veulent commanditer des études pour trouver des solutions au moment où des installations hôtelières en bordure de mer sont submergées par les vagues.
Source Sud
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