jeudi 7 février 2013


COMMUNIQUE DE REUNION DU CONSEIL DES MINISTRES DU 07 FEVRIER 2013


Le Conseil des Ministres s'est réuni le jeudi 07 février 2013, au palais de la République, sous la présidence du Chef de l'Etat, son Excellence Monsieur Macky SALL.
Dans sa communication au Conseil, le Président de la République a évoqué sa participation au 12eme sommet des Chefs d’Etat et de gouvernement de l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI), tenu les 6 et 7 février 2013 au Caire, en Egypte.
A ce sujet, le Chef de l’Etat, Président en exercice sortant, est revenu dans son discours d’ouverture et dont le contenu portait essentiellement sur les mutations intervenues depuis le sommet de Dakar de 2008, les questions de sécurité internationale, la menace terroriste, la crise au Mali et le constat de manque de réactivité de l’organisation.
Le Chef de l’Etat a indiqué avoir également mis en exergue les questions liées au fonctionnement de l’OCI, à la coopération pour le développement au sein de la Oumah, notamment à travers le raffermissement des échanges commerciaux et le renforcement des investissements intra-Oumah.
Le Président de la République a informé le Conseil sur les entretiens qu’il a eus avec le Secrétaire Général de l’OCI, les Présidents Mohamed Ould Abdel Aziz de Mauritanie et Mahmoud Ahmadinedjad d’Iran.
Concernant nos liens avec l’Iran, Le Chef de l’Etat a indiqué, qu’en accord avec son homologue de ce pays, il a été décidé de la reprise des relations diplomatiques entre les deux pays, sur des bases nouvelles.
Le Président de la République a ajouté à ce sujet, avoir informé la partie iranienne, des conditions de ce rétablissement, et de l’étendue de la nouvelle coopération envisagée, qui doit porter sur des domaines précis et restreints.
Prenant la parole, le Premier Ministre a rendu compte du déroulement de la réunion interministérielle sur le suivi du plan d’urgence de lutte contre les inondations, tenu le 4 février 2013. Au cours de cette rencontre, l’état d’avancement du programme de construction de  logements, a été fait sur la base d’une évaluation portée par une étude présentée par le Ministre de la Restructuration et de l’Aménagement des zones d’inondations. 
Le Premier Ministre a par ailleurs informé le Conseil qu’il a été convenu, lors de la rencontre, d’adopter une formule-cadre avec des promoteurs ou constructeurs, permettant la réalisation de 2000 logements à livrer avant juin 2013.
En outre, le Premier Ministre a rendu compte au Conseil des réunions interministérielles, consacrées au prix de la farine et à la programmation du pèlerinage à la Mecque 2013.
Sur le pèlerinage 2013, le Premier Ministre a informé du démarrage effectif des activités du bureau dédié à cet événement, dés le 1er juin 2013.
Le Ministre de l’Economie et des Finances a rendu compte au Conseil, du processus d’homologation du prix de la farine, qui a en définitive retenu  un prix plafond de 20.000 francs, le sac de 50 kg.
A ce titre, le Ministre du Commerce va convoquer le Conseil National de la Consommation pour le bénéfice de l’information du public.
Le Président de la République a félicité le Premier Ministre, le Ministre de l’Economie et des Finances et le Ministre du Commerce, pour le travail remarquable et méticuleux, ayant abouti après une large concertation, à l’homologation du prix de la farine sur l’ensemble du territoire.
Le Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique a fait part au  Conseil de la situation qui a prévalu à l’Ecole Supérieure d’Economie Appliquée (ESEA), le mardi 5 février 2013 qui découle de la reprise en main par le Centre des Œuvres Universitaires de Dakar (COUD), du service social de cette institution, lequel était auparavant géré de fait par le service de l’intendance de l’Ecole.
Le Ministre a indiqué au Conseil, toute sa détermination à aboutir à la pacification et à la stabilisation de l’espace universitaire.
Le Ministre des Infrastructures et des Transports a informé le Conseil, des mesures  prises pour assurer une meilleure gestion du trafic aérien à l’aéroport de Dakar Yoff, dans l’intérêt de l’ensemble des acteurs. Il a tenu également à rassurer quant aux décisions arrêtées pour une sécurisation accrue de la plate-forme aéroportuaire de Dakar, en rapport avec le contexte international et sous régional actuel.
Le Ministre de l’Education Nationale est intervenu sur les initiatives que son département est entrain de mettre en œuvre, pour l’organisation d’un examen du Baccalauréat arabe unique, suite aux préoccupations exprimées à ce sujet par les étudiants sénégalais en Egypte, lors de l’audience que le Chef de l’Etat leur a accordée à l’occasion de sa visite dans ce pays.
Le Ministre de la Justice, Garde des Sceaux a informé le Conseil de l’installation prochaine des Chambres Africaines, chargées de l’affaire Hisséne Habré.
Au titre des mesures individuelles, le conseil a pris les décisions suivantes :
·         Monsieur Amadou DIOP, Conseiller des Affaires étrangères principal de classe exceptionnelle, matricule de solde 382 900/L, précédemment Conseiller diplomatique du Président de la Commission de l’UMEOA, est nommé, Ambassadeur  extraordinaire et plénipotentiaire auprès de Sa Majesté Albert II, Roi des Belges, avec résidence à Bruxelles, en remplacement de l’Ambassadeur Paul BADJI ;

·         Monsieur Chérif Oumar DIAGNE, Ambassadeur du Sénégal au Ghana, matricule de solde 370 166/E, est nommé cumulativement avec ses fonctions, Ambassadeur  extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès de Son Excellence Monsieur Yayi BONI, Président de la République du Bénin, avec résidence à Accra ;

·         Madame Aïcha GASSAMA TALL, Magistrat, matricule de solde n°516 916/D précédemment Conseiller Technique au Ministère de la Justice, est nommée Agent judiciaire de l’Etat, en remplacement de Monsieur Abdoulaye DIANKO appelé à d’autres fonctions ;

·         Monsieur Tamsir FAYE, Juriste, est nommé Consul général de la République du Sénégal à Marseille, poste vacant ;

·         Monsieur Alioune DIOP, Ingénieur, est nommé Consul général de la République du Sénégal à Lyon, en remplacement de Monsieur Idrissa DIAGNE ;

·         Madame Fatou MBACKE, Inspectrice de l’Enseignement préscolaire et élémentaire, matricule de solde n°377 093/I, est nommée Directeur des Organisations féminines et de l’Entreprenariat féminin au Ministère de la Femme, de l’Enfance et de l’Entreprenariat féminin ;

·         Monsieur Cheikh Tidiane GADIO, Titulaire d’un Master en Gestion des Ressources humaines, est nommé, président du Conseil de Surveillance de l’Agence de Développement local, en remplacement de Monsieur Seydou NDIAYE ;

·         Monsieur Mamadou GASSAMA, Manager, est nommé président du Conseil de Surveillance de l’Agence nationale de la Maison de l’Outil (ANAMO).

jeudi 31 janvier 2013



 

 COMMUNIQUE DE REUNION DU CONSEIL DES MINISTRES DU 31 JANVIER 2013


Le Conseil des Ministres s'est réuni le jeudi 31 janvier 2013, au Palais de la République, sous la présidence du Chef de l'Etat, son Excellence Monsieur Macky SALL.
Introduisant sa communication au Conseil, le Président de la République a rappelé l’importance stratégique pour le Sénégal, de relever constamment le défi énergétique, afin d’accélérer la croissance économique du pays et de répondre à la demande sociale des populations.
Il a ainsi demandé au Premier Ministre en relation avec le Ministre de l’Energie et des Mines, de prendre les dispositions nécessaires pour mettre un terme aux délestages  dans la fourniture d’électricité, constatés ces derniers jours, d’accélérer le processus d’électrification en faveur de 3200 villages d’ici la fin de l’année 2013, de développer un important programme de maîtrise de la demande en énergie, en poursuivant notamment le projet de mise à disposition des ampoules à basse consommation
Evoquant la Stratégie Nationale de Développement Economique et Sociale (SNDES), le Chef de l’Etat a engagé le Premier Ministre à s’assurer d’une bonne cohérence entre la stratégie nationale et les orientations politiques qu’il a définies dans son programme de gouvernement.
Le Président de la République a également invité le Premier Ministre en relation avec le Ministre de l’Economie et des Finances, à entreprendre une bonne  préparation de la rencontre entre l’Etat et le groupe consultatif des bailleurs de fonds, prévue à Paris au mois de mai prochain.
Toujours à ce propos, le Chef de l’Etat a demandé l’organisation préalable d’un atelier technique, aux fins de revisiter la matrice d’actions de la SNDES, en vue de la définition des choix de lignes prioritaires à inscrire dans la période 2013-2017. Le Président de la République a, en outre, insisté sur l’impératif d’une bonne présentation des programmes et projets de la SNDES.
Consacrant le troisième volet de sa communication au secteur de la pêche, le Chef de l’Etat, a rappelé, l’importance stratégique des richesses halieutiques pour le pays, d’où la nécessité des mesures prises, destinées à la sauvegarde durable de la ressource.
Selon le Président de la République, cette option qui s’est traduite, par l’annulation de certaines licences de pêche, a favorisé une régénérescence de la ressource, profitable surtout à la consommation nationale. Dans ce cadre, le prix « Excellence In National Stewardship of the Oceans » que l’organisation Greenpeace lui a décerné, est un signe encourageant dans nos politiques de gestion durable des ressources naturelles.
Le Chef de l’Etat a abordé dans un autre point,  la communication gouvernementale en insistant sur l’importance de cette action, dans l’accompagnement visible du  volontarisme concluant de la politique mise en œuvre. Il a exhorté tous les membres du Gouvernement à redoubler d’efforts afin d’informer efficacement nos concitoyens sur la conduite des opérations publiques.
En conclusion, le Chef de l’Etat a rendu compte de sa participation au 20eme sommet de l’Union Africaine tenu à Addis Abeba  du 26  au 29  janvier 2013, en revenant sur le déroulement des travaux du 28eme sommet du Comité d’Orientation des Chefs d’Etat et du Gouvernement du NEPAD, et sur la 18eme session ordinaire du Forum du Mécanisme Africain d’Evaluation par les Pairs (MAEP).
Le Président de la République s’est naturellement félicité du choix porté sur sa personne, par ses homologues qui l’ont porté à la tête du Comité d’Orientation des Chefs d’Etat et de Gouvernement du NEPAD pour une durée de deux ans.
 Le Chef de l’Etat a enfin, confirmé sa décision de faire démarrer cette année le processus d’évaluation du Sénégal, dans le cadre du Mécanisme d’Evaluation par les Pairs (MAEP).     
Prenant la parole à la suite du Chef de l’Etat, le Premier Ministre a tenu d’abord à féliciter Monsieur le  Président de la République, pour sa brillante élection, à l’unanimité, à la tête du Comité d’Orientation du Nouveau Partenariat pour le Développement de l’Afrique (NEPAD) et du Forum du Mécanisme Africain d’Evaluation par les Pairs (MAEP).  Par ce choix qui honore le Sénégal, a indiqué le Chef du Gouvernement, l’Afrique investit de sa confiance, notre Chef de l’Etat, pour contribuer décisivement à la réalisation de l’espoir commun des peuples africains, en direction d’un avenir meilleur.
Informant le Conseil sur les activités gouvernementales de la semaine écoulée, le Premier Ministre est revenu sur la tenue d’une réunion consacrée à la gestion du problème des inondations, en rappelant toutes les décisions arrêtées en vue du démarrage effectif des travaux de construction en cours dans les sites de recasement et de mise à disposition des  logements aux personnes affectées par ce sinistre, notamment dans la région de Dakar.
Le Premier Ministre a, par ailleurs, informé le Conseil de l’état d’avancement du dispositif mis en place pour la reconstitution du capital semencier arachidier, dans le cadre d’un partenariat entre l’Etat et des opérateurs privés.
Le Chef du Gouvernement a enfin abordé la réunion interministérielle du 2 janvier 2013, qu’il a présidée et qui portait sur la mise en œuvre du projet de bourse familiale, destiné aux familles les plus vulnérables.
Le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur a fait au Conseil une communication sur l’actualité internationale, en mettant l’accent sur le traitement réservée à la question par  le vingtième sommet de la Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement de l‘Union Africaine.
Le Ministre a également parlé de la tenue prochaine du sommet de l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI), en Egypte.
Le Ministre de la Justice a, pour sa part informé le Conseil de l’état d’avancement des enquêtes conduites par les différents parquets impliqués dans les procédures portant sur les biens mal acquis. A la suite de l’exposé du Ministre, le Chef de l’Etat a repris la parole pour féliciter le Ministre de la Justice ainsi que ses services, pour l’excellent  travail abattu, avant de les encourager à poursuivre leur action conformément à la loi.
Le Ministre délégué aux Sénégalais de l’Extérieur a rendu compte au Conseil de la mission qu’elle a conduite la semaine dernière au Maroc, avec des experts du Ministère de la  Justice, pour échanger avec les autorités de ce pays frère, sur la situation de notre compatriote Alcaly Cissé.
Le Ministre de l’Economie et des Finances a rappelé devant le Conseil les orientations économiques, financières et budgétaires du  pays, dans le cadre de la mise en œuvre de la Stratégie Nationale de Développement Economique et Sociale (SNDES).
Présentant au Conseil une évaluation sommaire sur l’impact de la réforme engagée dans le cadre de la mise en œuvre du nouveau code des impôts, le Ministre a indiqué qu’en janvier 2012, les prélèvements d’impôts sur les fonctionnaires et agents de l’Etat étaient de l’ordre de 2,9 milliards de francs CFA, alors que pour le premier mois de l’année 2013, les prélèvements ont été établis à 1,3 milliards, soit une baisse de 47%.
Le Ministre de la Femme, de l’Enfance et de l’Entreprenariat féminin a présenté au Conseil un document d’orientation stratégique pour son département pour l’année en cours.
Partant de la vision politique globale du Chef de l’Etat, le document stratégique a une analyse contextuelle exhaustive avant de proposer des perspectives et des lignes d’actions prioritaires fondée sur une démarche méthodologique déclinant six objectifs stratégiques majeurs.
Ces objectifs s’attachent à :
§  Assurer la protection et la promotion socioéconomique des familles ;

§  Contribuer à l’autonomisation socioéconomique des femmes et des jeunes filles et au renforcement de leurs capacités ;

§  Protéger les droits des enfants ;

§  Créer un environnement favorable au développement de la micro-finance ;

§  Améliorer le cadre institutionnel et renforcer les mécanismes de question de planification, de coordination et de suivi-évaluation des structures nationales et déconcentrées du Ministère ;

§  Contribuer à la lutte contre la pauvreté.
Le Conseil a longuement discuté du document stratégique dont les objectifs s’inscrivent dans les orientations et domaines d’intervention de la Stratégie Nationale  de Développement Economique et Social (SNDS. 2013-2017).
Le Ministre de la Femme, de l’Enfance et de l’Entreprenariat féminin a été félicité pour le contenu du document et par sa présentation pédagogique et didactique.
 I-  Au titre des textes législatifs et réglementaires, le conseil a adopté « le projet de loi autorisant le Président de la République à ratifier l’Amendement des Statuts du Fonds Monétaire International (FMI) portant sur la Réforme du Conseil d’administration ».
II- Au titre des mesures individuelles, le conseil a pris les mesures individuelles suivantes :
·         Monsieur Ibrahima GUEYE, Administrateur civil principal, matricule de solde                  n° 518 381/P, précédemment Directeur de l’Emploi au Ministère de la Jeunesse, de l’Emploi et de la Promotion des Valeurs civiques, est nommé Secrétaire général du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

·         Monsieur Amadou Tidiane GUIRO, Professeur titulaire des Universités, précédemment Directeur général de l’Enseignement supérieur est nommé Recteur de l’Université du Sine-Saloum de Kaolack, poste vacant.

·         Monsieur Courfia Kéba DIAWARA, Professeur titulaire des Universités, précédemment Chef du Service de la Recherche et de la Coopération à l’Université de Ziguinchor, est nommé Recteur de l’Université de Ziguinchor en remplacement de Monsieur Oumar SOCK appelé à d’autres fonctions.

·         Monsieur Oumar SOCK, Professeur titulaire des Universités de classe exceptionnelle précédemment Recteur de l’Université de Ziguinchor est nommé Directeur général de l’Enseignement supérieur en remplacement de Monsieur Amadou Tidiane GUIRO, appelé à d’autres fonctions.

·         Monsieur Abdou SENE, Maître de conférences à l’unité de Formation et de Recherche des Sciences agronomiques, d’Aquaculture et de Technologie alimentaire (UFR S2ATA) de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, est nommé Directeur des Etablissements d’Enseignement supérieur privé de la Direction générale de l’Enseignement supérieur en remplacement de Monsieur Samba Ndaw SYLLA.

·         Monsieur Babacar GUEYE, Professeur titulaire des Universités en service à la Faculté des Sciences et Technologies de l’Education et de la Formation de l’Université Cheikh Anta DIOP de Dakar, est nommé Directeur des Affaires académiques et juridiques de la Direction générale de l’Enseignement supérieur en remplacement de Monsieur Ben Sikini TOGUEBAYE.

·         Monsieur El Hadji Hamidou KASSE, Conseiller Spécial du Président de la République, est nommé Président du comité scientifique du 15ème sommet de la Francophonie.

·         Monsieur Alioune TINE, Président de la Rencontre africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO) est nommé Président du Comité sénégalais des Droits de l’Homme, en remplacement de Monsieur Youssoupha NDIAYE.

·         Monsieur Emmanuel DIEDHIOU, Administrateur civil, matricule de solde n° 611 535/A, précédemment Adjoint au Préfet du Département de Rufisque, est nommé Adjoint au Gouverneur de la Région Matam, chargé du développement, en remplacement de Monsieur Abdoul WAHAB TALLA, appelé à d’autres fonctions.

·         Monsieur Abdoul WAHAB TALLA, Administrateur civil, matricule de solde n° 517 781/K, précédemment Adjoint au Gouverneur de la Région de Matam, chargé du développement, est nommé Adjoint au Gouverneur de la Région de Kaolack, chargé des affaires administratives, en remplacement de Monsieur Mame Less CABOU, appelé à d’autres fonctions.

·         Monsieur Mame Less CABOU, Administrateur civil, matricule de solde n° 616 303/E, précédemment Adjoint au Gouverneur de la Région de Kaolack, chargé des affaires administratives, est nommé Adjoint au Gouverneur de la Région de Kédougou, chargé des affaires administratives, en remplacement de Monsieur Demba TOURE, appelé à d’autres fonctions.

·         Monsieur Ousseynou MBAYE, Administrateur civil, matricule de solde n° 517 929/E, précédemment en service à la Direction générale de l’Administration territoriale, est nommé Adjoint au Gouverneur de la Région de Kolda, chargé du développement, en remplacement de Monsieur Papa Malick NDAO, appelé à d’autres fonctions.

·         Monsieur Papa Malick NDAO, Administrateur civil, matricule de solde n° 516 360/M, précédemment Adjoint au Gouverneur de la Région de Kolda, chargé du développement, est nommé Adjoint au Gouverneur de la Région de Matam, chargé des affaires administratives, en remplacement de Monsieur Birahim NDIAYE.

·         Monsieur Amdy MBENGUE, Administrateur civil, matricule de solde 603 968/B, précédemment en service à la Direction générale de l’Administration territoriale, est nommé Adjoint au Gouverneur de la Région de Kédougou, chargé du développement, en remplacement de Monsieur Mamadou GUEYE, appelé à d’autres fonctions.

·         Monsieur Mamadou GUEYE, Administrateur civil, matricule de solde n° 608 883/K, précédemment Adjoint au Gouverneur de la Région de Kédougou, chargé du développement, est nommé Adjoint au Gouverneur de la Région de Kaffrine, chargé du développement, en remplacement de Monsieur Mouhamadou Blondin NDIAYE, appelé à d’autres fonctions.

·         Monsieur Mouhamadou Blondin NDIAYE, Administrateur civil, matricule de solde            n° 616 283/N, précédemment Adjoint au Gouverneur de la Région de Kaffrine, chargé du développement, est nommé Adjoint au Gouverneur de la Région de Sédhiou, chargé des affaires administratives, en remplacement de Monsieur Elimane BA, appelé à d’autres fonctions.

·         Monsieur Elimane BA, Administrateur civil, matricule de solde n° 616 304/D, précédemment Adjoinit au Gouverneur de la Région de Sédhiou, chargé des affaires administratives, est nommé Adjoint au Gouverneur de la Région de Louga, chargé des affaires administratives, en remplacement de Monsieur Fodé FALL, appelé à d’autres fonctions.

·         Monsieur Fodé FALL, Administrateur civil, matricule de solde n° 616 290/R, précédemment Adjoint au Gouverneur de la Région de Louga, chargé des affaires administratives, est nommé Adjoint au Gouverneur de la Région de Kolda, chargé des affaires administratives, en remplacement de Monsieur Amadou GUISSE, appelé à d’autres fonctions.

·         Monsieur Amadou GUISSE, Administrateur civil, matricule de solde n° 616 316/C, précédemment Adjoint au Gouverneur de la Région de Kolda, chargé des affaires administratives, est nommé Adjoint au Gouverneur de la Région de Thiès, chargé des affaires administratives, en remplacement de Monsieur Alioune Badara SAMB, appelé à d’autres fonctions.

·         Monsieur Alioune Badara SAMB, Administrateur civil, matricule de solde n° 510 715/G, précédemment Adjoint au Gouverneur de la Région de la Thiès, chargé des affaires administratives, est nommé Adjoint au Gouverneur de la Région de Dakar, chargé des affaires administratives, en remplacement de Monsieur Daouda Wadd SECK.

·         Monsieur Daouda Wadd SECK, Administrateur civil, matricule de solde n° 517 434/F, précédemment Adjoint au Gouverneur de la Région de Dakar, chargé des affaires administratives, est nommé Adjoint au Gouverneur de la Région de Saint-Louis, chargé des affaires administratives en remplacement de Monsieur Mor Talla TINE, appelé à d’autres fonctions.

·         Monsieur Amadoune DIOP, Administrateur civil, matricule de solde n° 608 107/D, précédemment en service à la Direction générale de l’Administration territoriale, est nommé Adjoint au Gouverneur de la Région de Ziguinchor, chargé du développement, en remplacement de Monsieur Saliou Abdoulaye NGOM, appelé à d’autres fonctions.

·         Monsieur Seydi Ba GASSAMA, Assistant social, spécialiste en Gestion de programmes de Santé communautaire, matricule de solde 512 855/B, précédemment Chef de la Division Prophylaxie et Accompagnement psychosocial à la Direction générale de l’Action sociale est nommé Directeur de l’Action médicosociale.

·         Docteur Ousmane GUEYE, Economiste de la Santé, matricule de solde n° 619 816/A, précédemment Directeur de l’Etablissement public de Santé hospitalier de Sédhiou est nommé Directeur de l’Etablissement public de Santé hospitalier Roi Baudouin de Guédiawaye, en remplacement du Docteur Serigne Mor TOURE, admis à faire valoir ses droits à une pension de retraite. 

·         Monsieur Cheikh Mbaye SECK, Diplômé en Gestion des Ressources humaines, matricule de solde n° 518 507/Z, est nommé Directeur de l’Etablissement public de Santé hospitalier de Sédhiou, en remplacement du Docteur Ousmane GUEYE, appelé à d’autres fonctions.

·         Monsieur Samba GOUMBLE, Inspecteur du Travail et de la Sécurité sociale, matricule de solde n° 616 292/P, précédemment Chef de la Division du recrutement des agents de l’Etat à la Direction de la gestion prévisionnelle des effectifs, des emplois et des compétences, est nommé Directeur de la gestion prévisionnelle des effectifs, des emplois et des compétences à la Direction générale de la Fonction publique, en remplacement de Madame Maïmouna BA.



lundi 28 janvier 2013


Sénégal 

Le marché boursier reprend des couleurs


La performance de la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) s'est considérablement améliorée en 2012, portée par la reprise de l'activité boursière et un retour à la stabilité politique en Côte d'Ivoire. Malgré un léger repli du marché obligataire, les indices boursiers ont globalement progressé, et la capitalisation boursière globale a excédé 4 000 milliards de francs CFA (6 milliards d'euros) pour la première fois depuis octobre 2008. Déterminées à lutter contre la pénurie de liquidités chronique dont souffre le marché, les autorités boursières ont prévu différentes mesures pour contribuer à relancer l'activité boursière à moyen et long termes.
La Bourse d'Abidjan, qui regroupe sept pays d'Afrique de l'Ouest, se remet progressivement des faibles performances enregistrées ces trois dernières années. En 2009, les répercussions de la crise économique mondiale ont fait chuter de 25 % des deux principaux indices du marché : le BRVM 10, composé des 10 sociétés les plus actives du marché boursier en termes de volume de transactions et de capitalisation, et le BRVM Composite, qui suit les 37 valeurs cotées. La capitalisation boursière globale a fléchi de près de 16 % pour s'établir à 2 810 milliards de francs CFA (4.22 milliards d'euros) à la fin de l'exercice 2009.
En 2010, le marché a connu une embellie de courte durée, enrayée l'année suivante par les troubles politiques qui ont secoué la Côte d'Ivoire, où siègent la majorité des sociétés cotées. L'incertitude économique, aggravée par une cessation d'activité de deux semaines au mois de février, et le transfert temporaire des opérations boursières au Mali ont tous deux contribué au fléchissement de 13.5 % de l'indice BRVM 10, à 158.5 points, et de 12.83 % du BRVM Composite, à 138.88 points, à la fin de l'exercice 2011. La capitalisation boursière globale a enregistré une baisse de 8.47 % pour s'établir à 3 180 milliards de francs CFA (4.77 milliards d'euros), tandis que le volume des transactions a reculé de plus de 36 % en glissement annuel, pour atteindre une valeur totale de 58.91 milliards de francs CFA (88.36 millions d'euros).
Cependant, grâce au retour général de la stabilité régionale, l'indice de confiance des investisseurs a progressé, et de nombreuses sociétés ont enregistré une hausse de leur chiffre d'affaires, qui a profité au marché boursier. Fin 2012, l'indice BRVM 10 avait progressé de 16.12 %, à 184.04 points, et le BRVM Composite de 19.95 %, à 166.58 points.
La capitalisation boursière globale a franchi la barre des 4 000 milliards de francs CFA (6 milliards d'euros) fin 2012, pour s'établir 4 031 milliards de francs CFA (6.04 milliards d'euros) le 31 décembre ; un tel résultat n'avait pas été enregistré depuis octobre 2008, où 4 019 milliards de francs CFA (6.02 milliards d'euros) avaient été atteints. Cette croissance est attribuable à l'intensification des activités boursières, ainsi qu'à l'émission de plusieurs nouvelles actions par des sociétés déjà cotées à la Bourse régionale. Le 27 décembre, par exemple, la banque panafricaine Ecobank Transnational (ETI) a augmenté son capital de 100 millions de dollars, en émettant 1.25 milliard d'actions nouvelles au prix unitaire de 0.08 dollar.
La Société nationale des télécommunications du Sénégal, Sonatel, a émis un nombre d'actions moins important que ETI, mais à un prix unitaire plus élevé ; le groupe est aujourd'hui le plus actif en termes d'échanges quotidiens. Environ 67 831 actions de Sonatel ont été échangées en novembre 2012, soit 91.47 % des opérations boursières totales dans le secteur des services publics. Victime de l'incertitude économique et politique qui a entouré les élections présidentielles de mars 2012, et rendu les investisseurs frileux, Sonatel a dégringolé du second au neuvième rang de l'indice BRVM. Cependant, grâce à la transition politique réussie, achevée en milieu d'année, et à la reprise du volume d'échanges boursiers, Sonatel a pu regagner le second rang qu'elle occupe habituellement en termes de capitalisation boursière.
Déterminée à rendre ses titres plus accessibles, la société a procédé à une rare opération de fractionnement le 23 novembre, en divisant la valeur de l'action par dix, le cours étant devenu inaccessible pour de nombreux investisseurs. Au cours des cinq derniers jours de cotation de novembre, le volume échangé a permis d'augmenter le total mensuel de 2.86 %, chiffré à 14 400 francs CFA (21.60 euros). Les autorités boursières ont annoncé leur intention d'encourager ce type de fractionnement pour augmenter le nombre global d'actions en circulation, dans le cadre des efforts actuellement déployés pour renforcer les performances de la BRVM.
Par ailleurs, les responsables de la BRVM s'efforcent également de favoriser de nouvelles introductions en bourse. Le secteur des services publics, et notamment des télécommunications, est l'un des plus prometteurs pour assurer l'expansion du marché. Porté par l'action Sonatel, ce secteur enregistre le volume d'échanges le plus élevé ; en octobre 2012, il représentait en effet 73.63 % de l'activité boursière globale, suivi par le secteur de l'agriculture et le secteur financier, avec 9.6 % et 8.8 %, respectivement. L'introduction en bourse de l'opérateur télécom malien Sotelma, qui devait initialement avoir lieu au début du deuxième semestre 2012, est toujours en attente. La société envisagerait de placer 20 % de son capital sur le marché régional, dans une optique de privatisation, mais son projet d'introduction en bourse risque d'être compliqué à court terme par l'instabilité politique qui frappe actuellement le Mali.
Edoh Kossi Amenounve, nouveau directeur général de la BRVM, a annoncé au mois de novembre son intention d'introduire une journée de cotation de six heures, le marché étant actuellement ouvert de 9 h à 10 h 45, cinq jours par semaine. M. Amenounve a par ailleurs affirmé que le conseil d'administration donnerait suite à des plans élaborés il y a plusieurs années en vue de créer une Bourse secondaire pour les petites et moyennes entreprises (PME), incapables de répondre aux exigences d'inscription à la Bourse principale. Au terme d'une phase préparatoire sur le marché parallèle, les PME seraient en mesure de lever des capitaux à la BRVM. Ce processus en deux étapes profitera aux petites entreprises sénégalaises, principalement dans les secteurs des services publics et de l'agriculture.
Les solides performances du marché enregistrées en 2012 sont de bon augure pour la Bourse et les sociétés régionales. Si la profondeur du marché reste insuffisante, des plans ont cependant été initiés pour accroître la capitalisation boursière par le biais de nouvelles introductions en bourse et de nouvelles émissions de titres, dans l'optique de renforcer le marché à long terme. Toutefois, comme en témoignent les récentes fluctuations du marché, ces progrès demeurent largement dépendants de la stabilité politique dans la région.

dimanche 27 janvier 2013


Après Saly portudal, Mbour aura 3 autres sites balnéaires


La station balnéaire de Salyportudal à Mbour va bientôt souffler, avec la création de nouveaux sites touristiques. La société d’aménagement et de promotion des zones touristiques de la petite côte (Sapco), vient de monter un projet de « 13 milliards de f cfa » pour doter le département de Mbour de 3 autres stations. Celle qui est en état d’avancement, se trouve dans la localité de « Pointe Sarène ». Un camp hôtelier de « 6000 chambres » sera construit sur le site, qui sera ouvert à partir de l’année « 2016 », a informé le directeur de la Sapco, Paul Faye. 

vendredi 25 janvier 2013


Pape Modou Sougou à Marseille 

« C’est un rêve de gosse que je réalise »

Pape Modou Sougou, qui a signé un contrat de trois ans en faveur de l’Olympique de Marseille (élite française), a déclaré hier à l’Aps avoir demandé d'arrêter toutes les autres négociations, quand il a su que le club phocéen s’intéressait à lui. « Quand j’ai su que l’Om me voulait, j’ai dit à mon agent, avant même de recevoir l'offre, que c’est décidé : c'est Marseille. Car c'est le cœur qui a parlé », a déclaré l’attaquant excentré, qui a fait sa première séance d’entraînement avec ses nouveaux partenaires, hier matin. A l’Om, poursuit-il, « c’est un rêve de gosse que je viens de réaliser… », a-t-il dit, reconnaissant qu’au début, le club phocéen ne faisait pas partie de ceux venus à ses nouvelles, après son brillant parcours en Ligue des champions. « Ça c’est passé trop vite. Ils ont travaillé dans l'ombre, car ils me suivaient depuis le Portugal. Pape Modou Sougou, qui jouera son troisième championnat après ceux de la Roumanie et du Portugal, a laissé entendre que « le plus dur reste à venir ».

Recrutement de 5500 agents
L’Etat promet la transparence (ministre)

Le ministre de la Fonction, du Travail et des Relations avec les institutions, Mansour Sy, a déclaré, vendredi, à Dakar, que "l’Etat est décidé à jouer la carte de la transparence" concernant le recrutement annoncé de 5500 agents dans la Fonction publique, précisant que "l’ère des instructions du recrutement est dépassé".
‘’Le recrutement des 5500 agents dans la Fonction publique sera organisé dans la transparence. L’Etat est décidé à jouer la carte de la transparence. L’ère des instructions de recrutement est dépassé’’, a souligné M. Sy au cours d’une rencontre avec la presse.

‘’Après le recrutement de ces agents, a-t-il annoncé, les résultats seront publiés comme on a fait avec la liste et le nombre de postes à pourvoir.’’

Selon lui, ‘’la voie est tracée, d’autres programmes vont être déclinés par le ministère de l’emploi’’. Il a précisé que la priorité sera accordée à l’armée (1135 pour l'armée, 1000 pour la gendarmerie et 1000 pour la police), invoquant le vieillissement noté dans les effectifs des services de sécurité et les nombreux départs à la retraite.

S'agissant des agents de la Fonction publique, M. Sy a signalé que ‘’2294 personnes sont parties à la retraite le 31 décembre 2011, et 4906 seront à la retraite d’ici quatre ans’’. C'est là que réside ‘’l’urgence de ce recrutement’’, a-t-il dit.

Le secteur de la santé vient en second lieu avec 520 agents à recruter dont 70 médecins et 100 sages-femmes en plus des infirmiers, aides-infirmiers, assistants sociaux, entre autres.

Il a signalé la mise en place d'une Commission nationale recrutement placée sous la direction du ministère de la Fonction publique avec en son sein un représentant pour chacune des structures suivantes : présidence de la République, Primature, ministère des Finances, ministère du Budget et ministère technique concerné par l’agent à recruter.

‘’Cette commission va étudier tous les dossiers qui, après sélection, vont passer dans le circuit, et la dernière étape est celle de la vérification des diplômes’’, a indiqué le ministre, soulignant qu'il s'agit de ‘’s’assurer qu’on n’est pas en face d’un faux diplôme’’.

Ce recrutement de 5500 agents dans la Fonction publique, annoncé par le président de la République lors de son message à la Nation à l’occasion du nouvel an, est parti selon Mansour Sy ‘’d’une évaluation des besoins de chaque ministère’’.

‘’Tous les Sénégalais titulaires d’un diplôme d’Etat ou d’un diplôme classé peuvent faire acte de candidature’’, a-t-il ajouté, soulignant que des critères d’ancienneté, de compétences, d’âge et d’engagement citoyen seront mis en avant.

D'après lui, ‘’c’est au moment de départager deux personnes à égal diplôme’’ qu'‘’on choisira celui qui a eu fait du volontariat pour l’Etat dans sa vie’’.

‘’Cela existe aussi dans la santé : un médecin en position contractuelle dans une localité éloignée et qui accepte d’y rester en cas de recrutement sera pris dans la Fonction publique’’, a précisé M. Sy.

Mbour basket club 

Des battantes qui méritent d'être soutenues

Les deux dernières victoires des filles de Mbour basket club face à la Ja à Dakar et contre l'Ugb à Mbour témoignent de la bonne santé de l'équipe féminine de basket de la capitale de la Petite côte. Pourtant, l'équipe vit de ses maigres moyens, courant derrière la municipalité qui doit 6 millions de FCfa aux joueuses.
Ces jeunes filles, toutes des Mbouroises, sont entrain de faire des prouesses dans le championnat national de 1ère division de basket féminin. Elles se comportent bien dans leur poule pour avoir successivement battu la Jeanne d'Arc et l'Université Gaston Berger. Des rencontres gagnées avec les tripes car, Mbour basket ne compte que sur des dirigeants obligés de se cotiser pour faire face à certaines contraintes. Selon le directeur technique, Vieux Fall, sans le président du Stade de Mbour, Saliou Sambou, Mor Sylla Baïlo Bâ, Tidiane Sow, Abdoulaye Pouye et Alioune Ciss, tous les efforts seraient vains.
Pourtant, si le Maire El Hadji Fallou Sylla avait respecté ses engagements en remettant à temps la subvention municipale qui s'élève à 4 millions par an, nul doute que l'équipe sortirait la tête de l'eau et pourrait jouer les grands rôles. Tout juste, regrette Vieux Fall, 2 millions de FCfa ont été remis pour le compte de 2012, ce qui fait que, puisque nous sommes en 2013, la Mairie reste devoir 6 millions au club.
Par ailleurs, il lance un appel à toutes les bonnes volontés pour aider à terminer le championnat mais aussi et surtout à payer beaucoup de dettes contractées. Vieux Fall ne fait pas de doute sur les capacités managériales des dirigeants de Mbour qui en ont fait un creuset. Etayant son propos, il a soutenu que Fatou Diop Ugb et Khady Camara de Mbour basket, les meilleures marqueuses du championnat, sont toutes natives de Mbour.
Aminata Faye est internationale et parmi les 12 joueuses de l'équipe nationale, 3 filles sont de Mbour même si elles évoluent dans d'autres équipes. Il ne reste donc, à son avis, qu'à aider à la récupération de ses anciennes joueuses pour que Mbour basket fasse plus que Saint-Louis basket.
Vieux Fall est convaincu que si le basket était soutenu, il ferait des satisfactions énormes pour les sportifs mbourois. Il a rappelé que les seuls sénégalais qui ont évolué en Nba sont du département : Saër Sène est de Sessène, Cheikh Samb est de Mbour, Boniface Ndong de Pointe-Sarène, suffisant, selon lui, que le basket soit mieux considéré.

COMMUNIQUE DE REUNION DU CONSEIL DES MINISTRES DU 07 FEVRIER 2013 Le Conseil des Ministres s'est réuni le jeudi 07 février 201...